Bien investir son épargne en période chahutée est parfaitement réalisable. Gilles Belloir, directeur général de Placement-direct.fr, vous explique comment y parvenir dans le journal Investir.
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Tensions géopolitiques, guerre commerciale, crises politique et budgétaire…on a connu dans notre pays des périodes plus sereines que celle que nous vivons actuellement. Sans surprise, les marchés financiers ne restent pas de marbre. Le taux d’emprunt de la France sur 10 ans dépasse aujourd’hui celui de l’Espagne, du Portugal et même de la Grèce pourtant au cœur de la crise des dettes souveraines entre 2010 et 2012. Alors comment bien investir son épargne dans un environnement aussi incertain ?
1) Respectez votre profil d’investisseur
Êtes-vous plutôt du genre très prudent avec votre épargne quitte à ne pas gagner grand-chose ? Envisagez-vous une prise de risque limitée pour en dynamiser le potentiel de progression ? Ou à l’inverse, privilégiez-vous la performance à tout prix quitte à prendre beaucoup de risques ? Pas si simple à dire sans avoir réalisé un examen sérieux de sa situation personnelle.
Pour guider nos clients et les aider à déterminer le type d’investisseur qu’ils sont, nous leur demandons de définir leur profil financier (prudent, équilibré, dynamique ou offensif). Plusieurs critères sont à prendre en compte : votre âge, votre situation familiale et patrimoniale, vos connaissances financières, la nature de votre projet, votre horizon d’investissement ou encore votre degré de tolérance au risque.
Respecter ce profil financier dans le temps est fondamental pour traverser sereinement les crises et être en mesure d’assumer les à-coups, inévitables sur les marchés financiers. C’est en outre un excellent moyen d’éviter de prendre des décisions précipitées ou d’être influencé par des facteurs irrationnels…
Depuis le début de l’année, certains gestionnaires réalisent des performances stratosphériques. Chez Placement-direct.fr nous avons souhaité passer en revue les thématiques les plus porteuses du moment.
Souvent confondues, l’assurance vie et l’assurance décès n’ont pourtant ni la même finalité ni le même fonctionnement. Bercy vient de rappeler leurs différences, tout en soulignant leur complémentarité.
Selon une étude récente, 47% de nos compatriotes estiment que leur pouvoir d'achat va reculer une fois qu'ils seront retraités.
