La vie d’un contrat d’assurance vie est emmaillée d’opérations : investissements, rachats, arbitrages entre les différents supports d’investissement, prélèvements sociaux sur les gains...
Sommaire :
La vie d’un contrat d’assurance vie est emmaillée d’opérations : investissements, rachats, arbitrages entre les différents supports d’investissement, prélèvements sociaux sur les gains...
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Pour alimenter un contrat d’assurance vie, vous pouvez effectuer des versements libres (au coup par coup), ou des investissements programmés : la compagnie d’assurance qui gère votre contrat prélève automatiquement la même somme sur votre compte en banque de façon régulière (mensuelle, trimestrielle ou même semestrielle). Beaucoup d’assurés utilisent les deux types de versements.
En théorie, l’assurance vie est réservée à l’épargne de long terme. Il peut arriver, pourtant, que vous ayez besoin de retirer une partie de vos fonds : un rachat, partiel ou total, est possible car les fonds sont toujours disponibles. Toutefois, si vous décidez de retirer une partie de votre épargne investie en Unités de Compte, il vaut mieux choisir le moment opportun. Si vous avez investi à un point haut et que les marchés connaissent une baisse, vous risquez d’enregistrer une moins-value.
Lorsque le contrat sert à distribuer un complément de revenus, il est possible d’effectuer des rachats partiels programmés de façon régulière. Chaque mois, ou chaque trimestre, une somme que vous aurez définie à l’avance sera désinvestie de votre contrat et virée sur votre compte en banque.
Pour les primes versées depuis le 27 septembre 2017, la fiscalité des rachats est simple : si le contrat a moins de huit ans, la part d’intérêts du rachat est soumise à la flat tax de 30 % (12,8 % d’impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux). Lorsque le contrat a plus de huit ans, si la part d’intérêts du rachat est inférieure à 4 600 euros par an pour une personne seule (9 200 euros pour un couple marié ou pacsé), le rachat n’est pas imposé. Au-delà de ces seuils, la taxation est de 7,5 % d’impôt et de 17,2 % de prélèvements sociaux, soit un total de 24,7 %, sur une part seulement des intérêts du rachat. Les épargnants chanceux dépassant de plus de 150 000 euros en assurance vie subiraient en revanche une fiscalité légèrement alourdie. Et si vous n’êtes pas imposable, vous pouvez choisir d’opter pour le barème progressif : les intérêts au-delà de 4600 euros subiront les 17,2 % de prélèvements sociaux, mais pas d’impôt sur le revenu.
Pour simplifier toutes ces opérations, les contrats d’assurance vie en ligne constituent un outil idéal : ils vous permettent, par exemple, d’effectuer un rachat de façon rapide (parfois moins de 72 heures), de voir instantanément comment sont répartis vos fonds et quelle performance vous offre votre contrat, de procéder à des arbitrages, le tout rapidement et sans avoir besoin de passer systématiquement par un intermédiaire. En outre, avant de procéder à un rachat, vous pouvez simuler sa fiscalité. Surtout, ces contrats sont sans frais d’entrée.
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